CUBA - Agnès Varda
Agnès Varda (1928-2019) se rend à Cuba en décembre 1962, seulement deux mois après la "crise des missiles". Comme un bon nombre d'intellectuels et d'artistes français, elle se fascine pour l’énergie qui règne à La Havane et ses environs. À ses yeux, Cuba est un mélange étonnant de politique omniprésente et de sensualité naturelle, la rencontre inattendue "du socialisme et du cha-cha-cha". Elle en rapporte alors des milliers de photographies prises sur le vif avec l’idée de réaliser un film. Bien que n'ayant pas été conçue comme de la photographie d'art, cette série de clichés crée une tension entre les images fixes et les images animées, un lien entre la photographie et le cinéma qui deviendra alors le coeur de son oeuvre. On y retrouve le style à la fois vif mais toujours bienveillant d'Agnès Varda. L’ouvrage présente également quelques pages du montage extraites de ses archives ainsi qu'un entretien et trois essais s’attachant à replacer le travail de l’artiste dans son époque (François Hourmant), à décoder les liens entre photographie et cinéma (Valérie Vignaux et Karolina Lewandowska), et à porter un regard sur l’ensemble de son oeuvre (Clément Chéroux).
Publié par les Éditions Xavier Barral
En coédition avec les Éditions du Centre Pompidou
21,5 x 29 cm
Agnès Varda (1928-2019) se rend à Cuba en décembre 1962, seulement deux mois après la "crise des missiles". Comme un bon nombre d'intellectuels et d'artistes français, elle se fascine pour l’énergie qui règne à La Havane et ses environs. À ses yeux, Cuba est un mélange étonnant de politique omniprésente et de sensualité naturelle, la rencontre inattendue "du socialisme et du cha-cha-cha". Elle en rapporte alors des milliers de photographies prises sur le vif avec l’idée de réaliser un film. Bien que n'ayant pas été conçue comme de la photographie d'art, cette série de clichés crée une tension entre les images fixes et les images animées, un lien entre la photographie et le cinéma qui deviendra alors le coeur de son oeuvre. On y retrouve le style à la fois vif mais toujours bienveillant d'Agnès Varda. L’ouvrage présente également quelques pages du montage extraites de ses archives ainsi qu'un entretien et trois essais s’attachant à replacer le travail de l’artiste dans son époque (François Hourmant), à décoder les liens entre photographie et cinéma (Valérie Vignaux et Karolina Lewandowska), et à porter un regard sur l’ensemble de son oeuvre (Clément Chéroux).
Publié par les Éditions Xavier Barral
En coédition avec les Éditions du Centre Pompidou
21,5 x 29 cm
Agnès Varda (1928-2019) se rend à Cuba en décembre 1962, seulement deux mois après la "crise des missiles". Comme un bon nombre d'intellectuels et d'artistes français, elle se fascine pour l’énergie qui règne à La Havane et ses environs. À ses yeux, Cuba est un mélange étonnant de politique omniprésente et de sensualité naturelle, la rencontre inattendue "du socialisme et du cha-cha-cha". Elle en rapporte alors des milliers de photographies prises sur le vif avec l’idée de réaliser un film. Bien que n'ayant pas été conçue comme de la photographie d'art, cette série de clichés crée une tension entre les images fixes et les images animées, un lien entre la photographie et le cinéma qui deviendra alors le coeur de son oeuvre. On y retrouve le style à la fois vif mais toujours bienveillant d'Agnès Varda. L’ouvrage présente également quelques pages du montage extraites de ses archives ainsi qu'un entretien et trois essais s’attachant à replacer le travail de l’artiste dans son époque (François Hourmant), à décoder les liens entre photographie et cinéma (Valérie Vignaux et Karolina Lewandowska), et à porter un regard sur l’ensemble de son oeuvre (Clément Chéroux).
Publié par les Éditions Xavier Barral
En coédition avec les Éditions du Centre Pompidou
21,5 x 29 cm