D’UN JOUR, L’AUTRE - Martine Franck
Balthus, Michel Leiris ou Henri Cartier-Bresson, Marc Chagall au regard coquin, Sam Szafran dans son atelier de Montrouge, Paul Strand une chambre à plaques entre les bras… Ce sont quelques artistes et intellectuels, parfois complices, parfois amusés, souvent surpris ou « emportés » in extremis, croqués par l’objectif de Martine Franck. Des personnalités des arts et des lettres qui ont laissé (et laissent encore) une oeuvre à voir pour un public lui aussi fixé par l’oeil du photographe. Ainsi des visiteurs du Prado à Madrid, de la galerie Tretiakov à Moscou, saisis de profil, fascinés ou prostrés devant l’oeuvre d’un maître. Martine Franck a l’art de jouer de la mise en abîme.
Mais à côté des artistes et de leur public, des portraits d’enfants turbulents prêts à sortir du cadre, de paysages aux compositions géométriques, des gens du spectacle toujours en mouvement, s’ajoute un monde chaotique, des reportages humanitaires, des images sur la misère, le dénuement, les dérives tragiques, d’autres encore sur l’univers triste des vieillards, tout au bout de la vieillesse, démunis. D’un jour, l’autre rassemble un choix visuel sélectionné par l’artiste, qui rend compte des thèmes inépuisables.
publié aux Editions du Seuil
July, 1998 (date of publication)
168 pages
ISBN 2-02-034771-7
Balthus, Michel Leiris ou Henri Cartier-Bresson, Marc Chagall au regard coquin, Sam Szafran dans son atelier de Montrouge, Paul Strand une chambre à plaques entre les bras… Ce sont quelques artistes et intellectuels, parfois complices, parfois amusés, souvent surpris ou « emportés » in extremis, croqués par l’objectif de Martine Franck. Des personnalités des arts et des lettres qui ont laissé (et laissent encore) une oeuvre à voir pour un public lui aussi fixé par l’oeil du photographe. Ainsi des visiteurs du Prado à Madrid, de la galerie Tretiakov à Moscou, saisis de profil, fascinés ou prostrés devant l’oeuvre d’un maître. Martine Franck a l’art de jouer de la mise en abîme.
Mais à côté des artistes et de leur public, des portraits d’enfants turbulents prêts à sortir du cadre, de paysages aux compositions géométriques, des gens du spectacle toujours en mouvement, s’ajoute un monde chaotique, des reportages humanitaires, des images sur la misère, le dénuement, les dérives tragiques, d’autres encore sur l’univers triste des vieillards, tout au bout de la vieillesse, démunis. D’un jour, l’autre rassemble un choix visuel sélectionné par l’artiste, qui rend compte des thèmes inépuisables.
publié aux Editions du Seuil
July, 1998 (date of publication)
168 pages
ISBN 2-02-034771-7
Balthus, Michel Leiris ou Henri Cartier-Bresson, Marc Chagall au regard coquin, Sam Szafran dans son atelier de Montrouge, Paul Strand une chambre à plaques entre les bras… Ce sont quelques artistes et intellectuels, parfois complices, parfois amusés, souvent surpris ou « emportés » in extremis, croqués par l’objectif de Martine Franck. Des personnalités des arts et des lettres qui ont laissé (et laissent encore) une oeuvre à voir pour un public lui aussi fixé par l’oeil du photographe. Ainsi des visiteurs du Prado à Madrid, de la galerie Tretiakov à Moscou, saisis de profil, fascinés ou prostrés devant l’oeuvre d’un maître. Martine Franck a l’art de jouer de la mise en abîme.
Mais à côté des artistes et de leur public, des portraits d’enfants turbulents prêts à sortir du cadre, de paysages aux compositions géométriques, des gens du spectacle toujours en mouvement, s’ajoute un monde chaotique, des reportages humanitaires, des images sur la misère, le dénuement, les dérives tragiques, d’autres encore sur l’univers triste des vieillards, tout au bout de la vieillesse, démunis. D’un jour, l’autre rassemble un choix visuel sélectionné par l’artiste, qui rend compte des thèmes inépuisables.
publié aux Editions du Seuil
July, 1998 (date of publication)
168 pages
ISBN 2-02-034771-7