LA PHOTOGRAPHIE MEXICAINE - Actes Sud
Le Mexique est l’un des pays où l’usage de la photographie a été le plus vivace depuis 180 ans ; les pratiques photographiques y ont acquis très tôt une singulière autonomie, vivifiée par des influences extérieures. Ce Photo Poche dresse un bilan à partir de publications éparses mais efficaces, et à la faveur du rassemblement récent de fonds d’auteurs.
La population mexicaine, dans les villes ou les campagnes, semble avoir un goût pour le témoignage photographique de la vie sociale ou des événements
politiques. L’allemand Hugo Brehme fait la promotion d’une documentation systématique du pays et des traditions, sur laquelle se fonde ensuite une
approche plus poétique, celle de Manuel Alvarez Bravo, ou engagée, celle de Tina Modotti, aux côtés d’une activité artistique singulière adoubée par les surréalistes français. Le photojournalisme y trouve une traduction locale qui bénéfice de l’appui des médias et depuis les années soixante, les femmes-photographes jouent un rôle étonnant dans le développement d’une poétique photographique, moins événementielle, propre à rendre compte des imaginaires syncrétiques de ce pays). Dans une hétérogénité apparente propre au Mexique, se côtoient – et se confrontent - les traditions indigènes disparates retrouvées par l’archéologie (Mayas, Aztèques, etc.), les impératifs coloniaux (le catholicisme) et révolutionnaires (instauration des pouvoirs militaire et policier), les particularismes sociaux (les cultes de la mort, la lucha libre…).
Publié par Actes Sud, 2018
12,50 cm x 19,00 cm, 208 pages, neuf
ISBN : 978-2-7427-9792-9
Le Mexique est l’un des pays où l’usage de la photographie a été le plus vivace depuis 180 ans ; les pratiques photographiques y ont acquis très tôt une singulière autonomie, vivifiée par des influences extérieures. Ce Photo Poche dresse un bilan à partir de publications éparses mais efficaces, et à la faveur du rassemblement récent de fonds d’auteurs.
La population mexicaine, dans les villes ou les campagnes, semble avoir un goût pour le témoignage photographique de la vie sociale ou des événements
politiques. L’allemand Hugo Brehme fait la promotion d’une documentation systématique du pays et des traditions, sur laquelle se fonde ensuite une
approche plus poétique, celle de Manuel Alvarez Bravo, ou engagée, celle de Tina Modotti, aux côtés d’une activité artistique singulière adoubée par les surréalistes français. Le photojournalisme y trouve une traduction locale qui bénéfice de l’appui des médias et depuis les années soixante, les femmes-photographes jouent un rôle étonnant dans le développement d’une poétique photographique, moins événementielle, propre à rendre compte des imaginaires syncrétiques de ce pays). Dans une hétérogénité apparente propre au Mexique, se côtoient – et se confrontent - les traditions indigènes disparates retrouvées par l’archéologie (Mayas, Aztèques, etc.), les impératifs coloniaux (le catholicisme) et révolutionnaires (instauration des pouvoirs militaire et policier), les particularismes sociaux (les cultes de la mort, la lucha libre…).
Publié par Actes Sud, 2018
12,50 cm x 19,00 cm, 208 pages, neuf
ISBN : 978-2-7427-9792-9
Le Mexique est l’un des pays où l’usage de la photographie a été le plus vivace depuis 180 ans ; les pratiques photographiques y ont acquis très tôt une singulière autonomie, vivifiée par des influences extérieures. Ce Photo Poche dresse un bilan à partir de publications éparses mais efficaces, et à la faveur du rassemblement récent de fonds d’auteurs.
La population mexicaine, dans les villes ou les campagnes, semble avoir un goût pour le témoignage photographique de la vie sociale ou des événements
politiques. L’allemand Hugo Brehme fait la promotion d’une documentation systématique du pays et des traditions, sur laquelle se fonde ensuite une
approche plus poétique, celle de Manuel Alvarez Bravo, ou engagée, celle de Tina Modotti, aux côtés d’une activité artistique singulière adoubée par les surréalistes français. Le photojournalisme y trouve une traduction locale qui bénéfice de l’appui des médias et depuis les années soixante, les femmes-photographes jouent un rôle étonnant dans le développement d’une poétique photographique, moins événementielle, propre à rendre compte des imaginaires syncrétiques de ce pays). Dans une hétérogénité apparente propre au Mexique, se côtoient – et se confrontent - les traditions indigènes disparates retrouvées par l’archéologie (Mayas, Aztèques, etc.), les impératifs coloniaux (le catholicisme) et révolutionnaires (instauration des pouvoirs militaire et policier), les particularismes sociaux (les cultes de la mort, la lucha libre…).
Publié par Actes Sud, 2018
12,50 cm x 19,00 cm, 208 pages, neuf
ISBN : 978-2-7427-9792-9