PHOTOGRAPHIER L'AMÉRIQUE - Henri Cartier-Bresson & Walker Evans

30,00 €
Épuisé

Au printemps 1946, Henri Cartier-Bresson arrive aux États-Unis pour préparer son exposition au MoMA à New York. Il y restera dix-huit mois, il décide vite d’entamer un travail de longue haleine avec un écrivain pour publier un livre qui ne verra finalement pas le jour. Cette période est très importante pour le photographe : c’est à ce moment, l’après-guerre, qu’il choisit de ne pas devenir cinéaste et d’embrasser pleinement la photographie.

De son côté, Walker Evans a publié American Photographs en 1938, Let Us Now Praise Famous Men avec James Agee en 1941, et travaille à la réalisation de son projet Many Are Called, qui ne sera publié qu’en 1966. Walker Evans et Henri Cartier-Bresson appartiennent à la même génération, nourrie de voyages et de curiosité intellectuelle. Tous deux sont imprégnés par la littérature, la peinture et par une forme de critique sociale manifestée différemment : la frontalité et la distance d’Evans par rapport à son pays, face aux diagonales centrées sur l’humain du Français qui renifle (pour utiliser une de ses expressions) un territoire encore nouveau pour lui.

L’exposition Henri Cartier Bresson et Walker Evans, Photographing America, 1929-1947 présentée à la Fondation HCB en automne 2008 ainsi que le livre montrent, en parallèle, les points de vue de Walker Evans et d’Henri Cartier-Bresson sur l’Amérique (1929-1947), l’occasion de confronter deux façons de voir, deux approches différentes de deux maîtres de la photographie qui partageaient une mutuelle estime.

« Sans le challenge de l’œuvre de Walker Evans, je ne crois pas que je serais resté photographe » — Henri Cartier-Bresson

Publié par Steidl, 2008, textes par Agnès Sire et Jean-François Chevrier

182 pages, très bon état

ISBN 978-3-86521-773-8

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Au printemps 1946, Henri Cartier-Bresson arrive aux États-Unis pour préparer son exposition au MoMA à New York. Il y restera dix-huit mois, il décide vite d’entamer un travail de longue haleine avec un écrivain pour publier un livre qui ne verra finalement pas le jour. Cette période est très importante pour le photographe : c’est à ce moment, l’après-guerre, qu’il choisit de ne pas devenir cinéaste et d’embrasser pleinement la photographie.

De son côté, Walker Evans a publié American Photographs en 1938, Let Us Now Praise Famous Men avec James Agee en 1941, et travaille à la réalisation de son projet Many Are Called, qui ne sera publié qu’en 1966. Walker Evans et Henri Cartier-Bresson appartiennent à la même génération, nourrie de voyages et de curiosité intellectuelle. Tous deux sont imprégnés par la littérature, la peinture et par une forme de critique sociale manifestée différemment : la frontalité et la distance d’Evans par rapport à son pays, face aux diagonales centrées sur l’humain du Français qui renifle (pour utiliser une de ses expressions) un territoire encore nouveau pour lui.

L’exposition Henri Cartier Bresson et Walker Evans, Photographing America, 1929-1947 présentée à la Fondation HCB en automne 2008 ainsi que le livre montrent, en parallèle, les points de vue de Walker Evans et d’Henri Cartier-Bresson sur l’Amérique (1929-1947), l’occasion de confronter deux façons de voir, deux approches différentes de deux maîtres de la photographie qui partageaient une mutuelle estime.

« Sans le challenge de l’œuvre de Walker Evans, je ne crois pas que je serais resté photographe » — Henri Cartier-Bresson

Publié par Steidl, 2008, textes par Agnès Sire et Jean-François Chevrier

182 pages, très bon état

ISBN 978-3-86521-773-8

Au printemps 1946, Henri Cartier-Bresson arrive aux États-Unis pour préparer son exposition au MoMA à New York. Il y restera dix-huit mois, il décide vite d’entamer un travail de longue haleine avec un écrivain pour publier un livre qui ne verra finalement pas le jour. Cette période est très importante pour le photographe : c’est à ce moment, l’après-guerre, qu’il choisit de ne pas devenir cinéaste et d’embrasser pleinement la photographie.

De son côté, Walker Evans a publié American Photographs en 1938, Let Us Now Praise Famous Men avec James Agee en 1941, et travaille à la réalisation de son projet Many Are Called, qui ne sera publié qu’en 1966. Walker Evans et Henri Cartier-Bresson appartiennent à la même génération, nourrie de voyages et de curiosité intellectuelle. Tous deux sont imprégnés par la littérature, la peinture et par une forme de critique sociale manifestée différemment : la frontalité et la distance d’Evans par rapport à son pays, face aux diagonales centrées sur l’humain du Français qui renifle (pour utiliser une de ses expressions) un territoire encore nouveau pour lui.

L’exposition Henri Cartier Bresson et Walker Evans, Photographing America, 1929-1947 présentée à la Fondation HCB en automne 2008 ainsi que le livre montrent, en parallèle, les points de vue de Walker Evans et d’Henri Cartier-Bresson sur l’Amérique (1929-1947), l’occasion de confronter deux façons de voir, deux approches différentes de deux maîtres de la photographie qui partageaient une mutuelle estime.

« Sans le challenge de l’œuvre de Walker Evans, je ne crois pas que je serais resté photographe » — Henri Cartier-Bresson

Publié par Steidl, 2008, textes par Agnès Sire et Jean-François Chevrier

182 pages, très bon état

ISBN 978-3-86521-773-8

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